Savoir faire le bon choix nécessite de s'aimer et de se respecter.
"Se respecter", cela signifie que l'on agit avec son coeur car c'est ce que notre âme attend de nous, ce que nous sommes venus expérimenter sur cette terre !
Si nous nous respectons, les autres nous respecterons : c'est énergétique et logique !
Tout d'abord, je dirai, qu'avant de faire un choix, nous devons être curieux.
Il est nécessaire d'aller faire nos propres recherches (et oui, cela prend du temps !). Pensez-vous vraiment que tout ce qui vous est apporté sur un plateau d'argent par les médias, ou ce que les gens vous disent, n'est que vérité ?
Quitte à me répéter, soyez curieux, cela fait partie de l'évolution de l'âme !
Il est important de se questionner sur le bien-fondé de ce que nous avons trouvé.
Cela résonne-t-il au fond de nous ? Si oui, on prend. Si non, on laisse.
Comme notre mental a besoin de confirmation, nous passons à une autre recherche, et ainsi de suite.
Viens le moment où nous en faisons une conclusion : cela s'appelle le DISCERNEMENT. Nous nous faisons notre propre idée sur tout ce que nous avons appris sans laisser les autres intervenir dans nos pensées.
Si nous n'arrivons pas à avoir ce discernement, nous pouvons faire le silence en nous et
écouter ce qui vient, sans jugement. Peut-être pendant une méditation ? C'est souvent pendant cet instant que les réponses ou les idées arrivent. La première réponse est la bonne. Le reste, c'est le mental ! Lorsque nous prenons l'habitude de pratiquer ce genre d'exercice, les réponses viennent de plus en plus vite.
Exemple professionnel :
Nous avons très envie de pratiquer un nouveau métier qui demande de reprendre une formation.Ce désir montre ce qui est bon pour nous dans cet instant. Nous avons fait des recherches et nous sommes excités car cette formation nous correspond. C'est le coeur qui nous indique la voie à suivre. Puis, nous commençons à réfléchir : "les études, c'est difficile, je n'y arriverai pas, Cela va empiéter sur mes loisirs. De toute façon, je suis trop nul. Mes revenus vont baisser pendant ma formation et nous ne pourrons pas avoir le même train de vie. La formation est pendant les vacances, je ne pourrai pas profiter du beau temps...."
Toutes les excuses possibles sont permises pour le mental pour nous éviter d'accéder à ce que nous désirons.
Exemple personnel :
Nous avons un choix à faire qui nous fera changer de vie car nous ne nous sentons pas bien là où nous sommes. Nous savons, au fond de nous que c'est le meilleur pour nous. Cependant, nous nous disons : "Ce n'est pas bien. Certainement que ma famille et mes amis vont me rejeter ou me juger car ils ne pourront pas comprendre mes désirs. Je vais faire souffrir les gens autour de moi. Il faudra faire des sacrifices financiers et matériels..."
En résumé, lorsque nous faisons les choses à contre-coeur, c'est que nous ne nous respectons pas. Nous allons à l'encontre de notre âme !
Et souvent, elle se charge de nous indiquer ce qui ne va pas chez nous, en envoyant des messages (symptômes) à notre corps physique . Et si nous ne nous écoutons toujours pas, les symptômes se cristalisent en MAL-A-DIT (maladies). C'est pour cela que, souvent, la science reste sans réponse à nos souffrances corporelles car elles sont internes et ne peuvent être résolues que lorsque nous conscientisons ce qui ne va pas en nous (50 % du travail). Il sera ensuite nécessaire de faire un travail sur nos émotions, un soin énergétique, une hypnose... afin de résoudre définitivement la cause de notre souffrance.
En fonction de nos choix, nous évoluons rapidement (si nous écoutons notre coeur), ou lentement (si nous sommes dans le mental).
Il est important de se rappeler que nous sommes venus expérimenter la vie sur Terre.
Nous avons choisi de nous incarner dans ce véhicule corporel afin d'avancer sur notre chemin de vie et notre mission d'âme.
Les questions que nous pouvons nous poser sont alors les suivantes :
Avons-nous réussi tout ce que nous voulons ?
Sommes-nous prêts à regarder droit devant et avancer ?
Sommes-nous prêt à nous respecter (notre âme) ? Faisons-nous les bons choix ?
Sommes-nous réellement heureux ?
Lorsque nous aurons répondu à ces questions, il sera bon de ce rappeler ce dicton de Jacques Prévert :
Plus tard, il sera trop tard ! La vie, c'est maintenant !
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